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Une place pour chacun et chacun à sa place

Avec trois dératisations par an dans les égouts et quatre dans les bâtiments communaux, sans compter les interventions ponctuelles, les services techniques veillent.

Une 2e vague, non pas de surf, mais de dératisation, arrive pour 2018 : du 6 au 31 août, après celle d’avril-mai et avant celle de décembre.

Trois fois par an, les services techniques suivent l’entreprise spécialisée engagée par le territoire Paris Terres d’Envol qui intervient sur les réseaux d’assainissement.

Quatre fois par an, ce sont les bâtiments communaux qui sont traités, comme les groupes scolaires. La Ville missionne pour cela une entreprise spécialisée. Elle la sollicite aussi en cas de besoin ponctuel, par exemple si des terriers ont été repérés.

La dératisation est en outre un travail de concert avec « la SNCF et les villes limitrophes pour agir en même temps sur une zone », explique Julian Jegouzo, responsable du service environnement de la Ville. « Mais l’objectif n’est pas d’éradiquer les rats. Ils sont utiles : ce sont des nettoyeurs. »

Leur population reste difficile à mesurer, mais Sevran veille à ce qu’elle ne prenne pas d’ampleur. « Parfois on peut avoir l’impression qu’ils sont plus nombreux, alors qu’ils sont juste plus visibles. Par exemple, les travaux les dérangent ou les délogent. Quand ils sont sous nos yeux, c’est parce qu’il y a de la nourriture. » 
 

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Publié le 01 août 2018